8/26/09

The graffiti artists seized the Chinese walls

by Marianne Barrial (AFP)

Taking advantage of a legal vacuum, the graffiti

captured gradually walls of cities are

constantly under construction.

Special local works of Chinese graffiti artists

do not convey any political message

Chen Chuang, design graduate of 23 years, says

the bomb on a wall in Beijing, in large blue letters,

the signature of his clan he belongs to a small group,

growing, young artists who graffiti spread to China,

where it was hitherto unknown.

The graffiti "is not really illegal," assures

his friend Liu Yuchen.

"But if you get caught, it can be quite serious,"

immediately adds Che,

who once made his graffiti, quick to spin.

Appeared in China in recent years, graffiti,

unlike the practice in the West where it is

sometimes used megaphones policy focuses

primarily in China to an aesthetic dimension.

"The graffiti in China got rid of later aggressive

or assertive that vehicle in the West,"

said Luo Zhongli, director of the Institute

of Fine Arts Sichuan. In China,

"it is more related to the aesthetics

of everyday life, and has more to do with fashion.

According to Chen and Liu, most Chinese artists

began to graffiti after it discovered through

the Internet, movies, magazines or

through friends who have traveled abroad.

Most of the works of two friends mentioned

comics, abstract images or words colorful,

but does not discuss politics.

"There are very few people in Beijing who

do graffiti, and if I write my name on a wall

and I approach things negatively,

the police will find me easily,"

Chen provides. "We can not discuss

political issues," confirms another artist,

came to the city of Xian (north). "

If it does, it must be favorable to the government

and the party", provides Seker,

young graduate of 18, who uses a pseudonym.

Chen said that he painted according to the subjects

that inspire, as the earthquake in Sichuan

in May 2008 or the massacre of Nanking

by the Japanese in 1937.

Relatively new phenomenon, graffiti is framed

by any regulations in China. Chen said however

know people who have spent several days

in the post or were fined for having painted on the walls.

Increasingly, the Western model where artists

like Banksy Columbia have their place

in art galleries, graffiti wins acclaim.

A Chinese artist Zhang Dali, and has earned

a local celebrity in the 90s painting of bald heads

on the walls of Beijing buildings for demolition.

"In recent years, graffiti is everywhere.

For young artists is a new experience

a new art form," said Luo.

But despite the growing media interest,

the Chinese population is still unfamiliar.

"Very few people engage in graffiti and even

fewer are aware," said Nat, Kwanyin group member

who tries to live the art form by selling them.

"People do not really understand and

do not pay attention, but there is a

real potential for development", provides the artist.

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par Marianne Barriaux (AFP)

Profitant d'un vide juridique, les graffeurs s'emparent
peu à peu des murs de villes constamment
en chantier.
Particularité locale, les œuvres des graffeurs
chinois ne véhiculent aucun message politique

Chen Chuang, diplômé en design de 23 ans,

écrit à la bombe, sur un mur de Pékin,

en grandes lettres bleues, la signature

de son clan: il fait partie d'un petit groupe,

en pleine expansion, de jeunes artistes,

qui répandent le graffiti en Chine,

où il était jusqu'ici peu connu.

Le graffiti "n'est pas vraiment illégal",

assure son ami Liu Yuchen. "

Mais si l'on est pris, cela peut

être assez grave", ajoute aussitôt Che,

qui une fois son graffiti réalisé, s'empresse de filer.

Apparu en Chine depuis quelques années,

le graffiti, contrairement à sa pratique

en occident où il sert parfois de porte-voix politique,

s'attache avant tout en Chine

à une dimension esthétique.

"Le graffiti en Chine s'est débarrassé

du côté agressif ou revendicatif

qu'il véhicule en occident", explique Luo Zhongli,

directeur de l'Institut des Beaux arts du Sichuan.

En Chine, "il est plus lié à l'esthétique

de la vie quotidienne, et a plus à voir avec la mode".

Selon Chen et Liu, la plupart des artistes chinois

se sont mis au graffiti après l'avoir découvert

à travers Internet, le cinéma, les magazines

ou grâce à des amis qui ont voyagé à l'étranger.

L'essentiel des œuvres des deux amis évoque

des bandes dessinées, des images abstraites

ou des mots colorés, mais n'aborde pas la politique.

"Il y a très peu de gens à Pékin qui font du graffiti,

et si j'inscris mon nom sur un mur et que j'aborde

des choses négatives, la police

me trouvera facilement", assure Chen.

"On ne peut pas évoquer des thèmes politiques",

confirme un autre artiste, venu de la ville

de Xian (nord). "Si on le fait, ce doit être

favorable au gouvernement et au parti",

assure Seker, jeune diplômé de 18 ans,

qui utilise un pseudonyme.

Chen explique lui qu'il peint en fonction

des sujets qui l'inspirent, comme le tremblement

de terre au Sichuan de mai 2008 ou

le massacre de Nankin par les Japonais en 1937.

Phénomène relativement nouveau,

le graffiti n'est encadré par aucune réglementation

en Chine. Chen affirme cependant connaître

des gens qui ont passé plusieurs jours au poste

ou ont écopé d'amendes pour avoir peint sur les murs.

De plus en plus, sur le modèle occidental

où des artistes comme le Britannique Banksy

ont leur place dans les galeries d'art,

le graffiti gagne ses lettres de noblesse.

Un artiste chinois, Zhang Dali, s'est ainsi taillé

une célébrité locale dans les années 90

en peignant des têtes chauves sur les murs

d'immeubles pékinois destinés à la démolition.

"Depuis quelques années, les graffitis sont partout.

Pour les jeunes artistes, c'est une

nouvelle expérience d'une nouvelle

forme d'art", explique Luo.

Mais malgré l'intérêt croissant des médias,

la population chinoise y est encore peu familiarisée.

"Très peu de gens s'adonnent au graffiti et

encore moins sont au courant",

explique Nat, membre du groupe Kwanyin,

qui tente de vivre de cette forme d'art

en les vendant. "Les gens ne comprennent

pas vraiment et n'y prêtent pas attention,

mais il y a un vrai potentiel de développement",

assure l'artiste.

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